Kinshasa : Charlène et Samuel, maman et bébé de la rue...
Par JG3198-GANDI le dimanche 15 juillet 2007, 00:00 - Kinshasa - Les enfants des rues - Lien permanent
Pour nous aider, vous pouvez parrainer les enfants des rues de Kinshasa.
Samuel a 5 mois et il est né
dans la rue. Charlène, sa maman, y vit dans la rue depuis 5 ans. Comme les
autres filles de la rue, son activité principale réside dans la
prostitution.
Les filles de la rue ont
d’habitude un garçon qui leur est plus plus proche, leur « love », avec lequel
elles pratiquent des relations sans préservatif et qui joue auprès d'elles le
rôle de « protecteur ». Un grand nombre de filles de la rue tombent enceintes
et, si elles n’arrivent pas à avorter, elles ne gardent pas leur enfant, une
charge trop lourde dans la rue, mais le laissent à la famille de leur love ou à
leurs propres parents.
Samuel est le troisième enfant de Charlène, mais la famille du père ne veut pas le voir et la mère de Charlène ne veut plus accueillir un enfant supplémentaire. Alors Charlène a exercé son agressivité contre Samuel dont elle voulait se débarrasser. Elle lui a donné des coups et l’a fait tomber. A trois mois, l’enfant avait une fracture du fémur, nous l’avons accueilli et soigné. Mais Charlène a poursuivi sa violence et ses coups sur son bébé au point que d’autres filles de la rue le lui ont arraché et nous l’ont amené pour le sauver. Comme Charlène ne veut pas rentrer dans sa famille, nous avons visité celle-ci et découvert une tante qui a bien voulu accepter d’accueillir l’enfant. Nous aidons cette femme très pauvre afin de consolider cet accueil.

Samuel est le troisième enfant de Charlène, mais la famille du père ne veut pas le voir et la mère de Charlène ne veut plus accueillir un enfant supplémentaire. Alors Charlène a exercé son agressivité contre Samuel dont elle voulait se débarrasser. Elle lui a donné des coups et l’a fait tomber. A trois mois, l’enfant avait une fracture du fémur, nous l’avons accueilli et soigné. Mais Charlène a poursuivi sa violence et ses coups sur son bébé au point que d’autres filles de la rue le lui ont arraché et nous l’ont amené pour le sauver. Comme Charlène ne veut pas rentrer dans sa famille, nous avons visité celle-ci et découvert une tante qui a bien voulu accepter d’accueillir l’enfant. Nous aidons cette femme très pauvre afin de consolider cet accueil.