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mercredi 10 avril 2013

Haïti : les travaux à Cité Soleil avancent à grande allure

en savoir plus sur le parrainage d'enfants en Haïti

Les élèves de l'école St Alphonse de Cité Soleil à Haïti en rangs pour la rentrée scolaire La rentrée s’est vraiment faite dans une bonne ambiance de travail. Les traces laissées par Sandy le dernier cyclone de l’année 2012 étaient encore présentes. Mais au grand soulagement de tous, grâce à la grande mobilisation des parrains et partenaires de SOS Enfants, les livres perdus et endommagés par le cyclone ont pu être remplacés et les cartons contenant ces nouveaux manuels attendaient les élèves le jour même de la rentrée.
Autre point positif : Les travaux de reconstruction de quatre classes pour les élèves du Primaire ont démarré. C’est là un signe très encourageant pour tous !

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jeudi 22 novembre 2012

Haïti, après le cyclone Sandy...

Le cyclone Sandy sur Haïti
Le début de cette année scolaire 2012-2013 a été très perturbé par le passage de deux cyclones, le 28 août Isaac puis le 23 octobre c’est Sandy qui traversait Haïti.
Les deux écoles du groupe scolaire Saint-Alphonse ont été fortement touchées et les familles de la zone n’ont pas été épargnées, les dégâts subis sont très lourds. Durant trois jours, écoles, commerces, administration, tout est resté fermé.
L'école St Alphonse de Fourgy en Haïti inondée après le cyclone Sandy Face aux inondations très importantes, nombre de familles ont fui pour chercher un refuge.
Comme c’est le cas à chaque fois qu’une catastrophe frappe le pays, on a assisté à un exode massif de familles, de longues files de réfugiés essayant de trouver un abri, un endroit moins inondable pour protéger leurs maigres possessions. Certains n’hésitent pas à partir en province, en quête d’un nouveau lieu de vie pour se reconstruire…

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lundi 12 mars 2012

Antalaha : rénovation du dortoir de l'orphelinat

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Chers Amis SOS Enfants,
Les enfants de l'orphelinat d'Amboangibe
Après ces dernières vacances, les enfants ont eu la grande surprise de retrouver leur dortoir entièrement meublé de nouveaux lits, de porte-moustiquaires tout neufs ainsi que de nouvelles tables de chevet assorties aux lits.L'ancien dortoir de l'oprhelinat d'Antalaha, après rénovation.
Auparavant, nous avions installé les nouveaux matelas sur les lits et nous avions fait les lits avec les nouveaux draps et couvertures et les avions recouvert avec les couvre-lits flambant neufs. Il régnait une odeur de neuf dans le dortoir.

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mercredi 12 octobre 2011

Madagascar : Fin des travaux à l'orphelinat d'Amboangibe

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Chers Amis SOS Enfants,
A la suite de votre dernier don, veuillez m'excuser car j'ai attendu la fin de mes travaux pour que je puisse vous montrer ce qui a été fait avec votre aide. Aussi aujourd'hui je peux envoyer des photos des toitures. Vous aller voir à chaque photo le début de nos travaux, dortoir, salle-à-manger, douche et puis l'orphelinat, les photos de la maison qui est bien réparée.
Les enfants de l'orphelinat d'Amboangibe
Vous verrez aussi les nouvelles des orphelines. A ce sujet, la très bonne nouvelle, Lucianna Bemamy et Charline ont réussi leur examen de CEPE. Les enfants vont bien. Depuis le 7 juillet, elles ont passé leurs vacances scolaires. Pour le moment nous n'avons pas pensé partir ailleurs pour les vacances, mais je voudrais vous demander s'il est possible de nous aider pour les prochaines vacances car ces enfants-là n'ont jamais quitté Amboangibe, nous n'avons pas les moyens. Avec votre aide, peut être nous pourrions les emmener voir Sambava ou Antalaha ou Vohemar parce que aucune de nos enfants n'a jamais vu la mer...

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vendredi 26 mars 2010

Haïti : 2 mois après le séisme, un bilan amer

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Maison de Cité Soleil en Haïti détruite par le séisme Le séisme meurtrier et dévastateur du 12 janvier dernier a tué bien des espoirs. Etant déjà très loin d’être satisfaisante, la vie des habitants de Port-au-Prince et même de ceux de la province, est devenue à la fois triste et douloureuse, puisque près de 300.000 personnes sont mortes. Des milliers de gens sont ajoutées au nombre des handicapés. Toutes les catégories sociales ont subi de grosses pertes matérielles dont le prolétariat auquel font également partie les enseignants.

Condition déshumanisante et révoltante, car des milliers de personnes se voient obligées de se regrouper dans des camps, à la merci des ONG. Certaines gens pouvaient rester dans leur propriété, même si leur maison avait été détruite. Les habitants qui vivent dans les plaines à Port-au-Prince disposent généralement de plus d’espace et peuvent ainsi éviter les camps. A Croix des Bouquets, par exemple, il n’y avait aucun camp d’hébergement durant la première semaine après le 12 janvier. Un voisin qui n’avait que l’espace de sa maison habitait avec son voisin le plus proche, dans la fraternité. Comme conséquence, les victimes de Croix des Bouquets étaient oubliées. Par stratégie de survie, les camps d’hébergements se sont multipliés, mais parfois sans être réellement habités.

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