Burkina : accès à l'éducation, un bond en avant

Avec l’AZN, nous mettons tout en œuvre pour que les enfants puissent suivre une scolarité normale en Primaire. Les freins ne manquent pas mais chaque année est une victoire dans ce combat.

Les dernières nouvelles montraient la construction d’une école à Koulmastanga, en remplacement de classes sous paillotes peu adaptées à scolariser des jeunes enfants. Cela répond au défi d’ouvrir les portes de l’école au plus grand nombre.
Une classe d'école primaire au Burkina Faso Les enjeux sont aujourd’hui d’améliorer la qualité de l’enseignement. Cela passe par la mise à disposition de manuels scolaires, l’électrification des classes et, dans une autre mesure, l’accès à l’eau potable.

Malheureusement, trop nombreux sont encore les enfants qui abandonnent l’école avant d’atteindre le CM2 !
En parallèle, nous voyons le nombre des élèves que nous accompagnons atteindre de très bons niveaux.
Aujourd’hui, nous accompagnons 25 universitaires. Leurs parents n’ont pour la plupart jamais franchi la porte de l’école. C’est un véritable bond en avant et c’est toute la population qui bénéficie de cet élan.

Avec son autorisation, nous souhaitons vous présenter Hado, une des premières jeunes filles soutenue par SOS Enfants.
Hado, première univesitaire soutenue par SOS Enfants au Burkina Faso Hado est entrée en 6ème en septembre 2005 au CEG de Toeghin. Dix ans plus tard, elle était l’une des toutes premières de nos jeunes à terminer ses études grâce au parrainage.

Aujourd’hui diplômée de l’université, elle enseigne à son tour depuis 3 ans déjà et a souhaité témoigner de son parcours.

Nous sommes fiers et heureux de reproduire sa lettre, en accord avec sa Marraine.
Lettre d'une étudiante Burkinabé à sa marraine
Lettre d'une étudiante Burkinabé à sa marraine

Si vous le souhaitez, vous pouvez vous aussi parrainer un enfant au Burkina